Alors que le groupe d’Ehpad français a ouvert il y a quelques années une structure à Merl, un deuxième établissement devrait ouvrir ses portes du côté de Strassen d’ici la fin de l’année.
Le groupe Orpea semble poursuivre son extension au Luxembourg. C’est en tout cas ce qu’il ressort de la réponse à la question parlementaire adressée à la nouvelle ministre de la Santé, Martine Deprez, ce lundi 28 février.
Cette dernière annonce en effet que son ministère a «réceptionné une demande d’agrément pour une structure d’hébergement pour personnes âgées, que la société Orpea Luxembourg envisage de gérer à Strassen». Une demande qui est pour l’instant «en cours d’analyse» précise la ministre CSV, qui prévoit toutefois une potentielle date d’ouverture pour «l’été/automne 2024».
Pour rappel, une première structure a déjà ouvert ses portes en 2022 à Merl, quelques mois seulement après la parution du livre-enquête choc « Les Fossoyeurs », qui dénonçait des abus au sein des structures du groupe, entrainant, de facto, une enquête de la justice française.
Si des perquisitions ont encore eu lieu fin janvier dans plusieurs établissements européens (dont le Luxembourg), la ministre de la Santé assure que deux contrôles ont eu lieu en 2022 et deux autres en 2023 dans la résidence « Recital » à Merl. Sans qu’aucune anomalie ne soit détectée.
«Cela a permis de rencontrer près de 20 résidents dépendants et d’avoir des entretiens tant avec eux, dans le cadre des missions liées à la détermination de leurs besoins, mais aussi avec le personnel les encadrant», précise encore la ministre.
Merci énormément, c est plus que nécessaire ❤️Concrètement, alors que la loi votée en août 2023 liait seulement le nombre minimum de personnel au nombre de résidents, la nouvelle loi prévoit de lier le ratio d’encadrement non seulement au nombre de résidents mais aussi à leur degré de dépendance.
Les résidents qui ont besoin de plus de soins bénéficieront donc de davantage de personnel. Le ministre de la Famille, Max Hahn, a déclaré que cet ajustement améliorait la loi.… c est primordiale dans les services personnes atteintes de démences lourdement handicapées handicapés .. le personnel souffre !
Certains sont surveillés, d’autres non, et il devrait y avoir une surveillance partout par respect pour les soignants et les clients. Souvent, les soignants et les familles ne sont pas formés pour gérer les personnes atteintes de démence, de schizophrénie, de bipolarité, etc. Les soignants sont surchargés de travail, manquent de temps et font face à une hiérarchie très exigeante qui leur demande l’impossible, cherchant à avoir le beurre et l’argent du beurre. Les familles sont parfois trop strictes et exigeantes, ne tenant pas compte du fait que les soignants doivent se partager entre 20 à 30 clients et accomplir de nombreuses tâches, parfois sans sécurité, telles que les soins, le rangement des chambres, la désinfection, l’encodage lent et l’administration. Il faudrait donc adapter des formations humaines sur les sens éthiques respect émotion qui reste en mémoire fondamentalement chez les personnes démentes , avoir plus de personnel, et surtout plus de temps. De plus, les chefs devraient cesser le copinage et ne pas se laisser manipuler par leurs relations amicale . »
Dans les services de soins médical sociaux et éducatifs en général , les soignants, éducateurs et thérapeutes qui privilégient une approche centrée sur la personne travaillant avrc les sens , émotions sont souvent confrontés au mobbing et au harcèlement, malgré leur nature bienveillante douce . Les chefs de services, en particulier les nouveaux, peuvent imposer des règles strictes, parfois au détriment des besoins et des humeurs des clients( ex: démences schizophrénie.. ) . Il est crucial de les sensibiliser à la nécessité de s’organiser différemment pour des raisons valables, afin de répondre aux besoins changeants des clients et manque d effectifs ainsi les règles rigides peuvent entraver la capacité des soignants à fournir une assistance adaptée et humaine. Critiquer systématiquement les soignants( souvent sous effectifs) pour avoir adapté leur organisation pour de bonnes raisons est non seulement inhumain, mais aussi contre-productif, sapant le moral et la qualité des soins. Ces mêmes chefs protègent d les clients conscients violents qui humilient menacent mentent abus de pouvoir et abus sexuel
Le scandale n’est pas terminé en France , et nous au Luxembourg on marche dans les combines de cette société