Accueil | Grande Région | Le Kussbus débarque à Thionville

Le Kussbus débarque à Thionville


La navette Kussbus garantie une place assise et un trajet direct entre le domicile et le lieu de travail du lundi au vendredi offrant ainsi une alternative à la voiture et aux transports en communs classiques (Photo : DR).

Lancé au printemps entre Arlon (Belgique) et le plateau du Kirchberg, le service de navette connectée Kussbus arrive à Thionville lundi 24 septembre. Présentée comme étant une alternative à la voiture et aux transports en commun  bondés aux heures de pointe, Kussbus est soutenu par le ministère luxembourgeois du Développement Durable et des Infrastructures.

Comment ça marche ?

Kussbus est une navette domicile-travail de 19 places maximum qui adapte son trajet aux besoins des usagers. L’idée est de faire venir la navette au plus près du domicile et du lieu de travail de chacun en définissant des arrêts communs situés dans un rayon de plus ou moins cinq minutes. Pour cela, il suffit de télécharger l’application Kussbus et réserver son trajet aller ou aller-retour en quelques clics.

Kirchberg et Glacis

Le principal atout de cette formule est de proposer un trajet direct, confortable, avec la garantie d’avoir un siège, et ainsi de s’affranchir des correspondances. Pour l’heure, seuls le plateau du Kirchberg et le Glacis sont desservis.

En temps réel

Le navetteur peut, grâce à l’application, suivre les déplacements de la navette en temps réel et ainsi la localiser avec précision. Il peut également, en cas de contretemps, au dernier moment, choisir de prendre une autre navette que celle réservée et cela sans frais supplémentaire.

Six trajets par jour

Trois navettes circuleront entre 6h et 9h et entre 16h et 20h : soit six trajets domicile-travail seront proposés dès lundi prochain. La particularité est que le trajet emprunté par la navette n’est pas figé puisqu’il s’adapte aux besoins des navetteurs.

Moins de cinq euros

Kussbus (qui travaille avec la société de transports Émile Weber) s’engage à facturer chaque trajet « moins de cinq euros ». Un tarif qui excède légèrement celui des transports en commun classiques (train et car) mais qui reste bien inférieur au coût d’un trajet en voiture. La start-up dont l’objectif premier est d’amener les automobilistes à renoncer à leur voiture, promet même six trajets offerts à chaque usager qui téléchargera l’application.

Catherine Roeder (Le Républicain Lorrain)

PUBLIER UN COMMENTAIRE

*

Votre adresse email ne sera pas publiée. Vos données sont recueillies conformément à la législation en vigueur sur la Protection des données personnelles. Pour en savoir sur notre politique de protection des données personnelles, cliquez-ici.