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Lars Gerson : « Peut-être que ce sera bon dès ce week-end » (Interview)


Courtisé par le GIF Sundsvall et proche d’un accord, comme nous vous l’annoncions hier, Lars Gerson reconnaît, du bout des lèvres, avoir peut-être trouvé un club…

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Lars Gerson confirme s’être très sérieusement rapproché du GIF Sundsvall. (Photos : Jeff Lahr/Gerry Schmit)

> En début de semaine, vous avez reconnu dans le journal local de Sundsvall vous être singulièrement rapproché du GIF, ce dernier indiquant être tout près d’un accord…

Lars Gerson : Oui, j’ai parlé avec eux, mais je n’ai rien dit de particulier. Enfin si, j’ai dit que j’étais plus proche du club que je ne l’étais avant…

> Ce qui veut tout dire.

Mais rien n’est signé.

> Mais vous êtes sur le point de le faire ?

On est en train de régler des détails avec mon agent. Mais peut-être que ce sera pour avant la fin de semaine, disons dès ce week-end.

> Avec une clause pour être libéré au cas où vous trouveriez un club qui corresponde plus à votre envie de franchir un palier ?

Oui, ce pourrait être une éventualité. Mon envie d’aller voir plus au Sud reste d’actualité, et si je peux avoir une option comme celle-là…

> Combien de temps le GIF Sundsvall veut-il vous faire signer ?

Trois ans. Moi, cela m’irait.

> Ce n’est pas stagner ?

Je crois qu’après un an ou presque sans jouer (NDLR : 19 apparitions en D1 suédoise), je viens surtout chercher du temps de jeu, une place sur le terrain.

> Et des ambitions ? Ou il faut s’asseoir dessus dès lors qu’on s’engage avec un promu ?

Ils ont de bons projets pour le futur. Ils veulent jouer au foot et m’ont donné une belle impression. Après, des ambitions, on a essayé d’en avoir à Norrköping et bon…

> Mais Roger Franzen, le coach, vous a vendu quel projet individuel… Lars Gerson, sur le terrain et dans le vestiaire, il devra faire quoi ?

Je ne veux pas encore trop en parler tant que rien n’est sûr. On en reparlera peut-être dans peu de temps.

> La question peut paraître anecdotique, mais elle ne l’est peut-être pas tant que cela : Sundsvall, l’un des clubs pros les plus au nord du monde, cela ne freine pas un peu, quand on évalue la destination, géographiquement parlant ?

C’est loin, oui, mais ce n’est pas le plus important. J’avoue qu’on regarde quand même un petit peu, mais ce n’est pas le genre de ville où il fait nuit six mois dans l’année. Par contre, il peut y faire très froid. Là, récemment, les températures étaient les mêmes que celles qu’on trouve chez moi, à Kongsvinger. La semaine de Noël, il y a fait en dessous de 20° !

> Puisqu’on parle de la Norvège, aucune offre n’est venue de chez vous ?

Je crois que je me suis fait un petit nom en trois ans à Norrköping. Certains clubs scandinaves sont venus me voir et certains sont encore intéressés. C’est pour cela que je ne peux encore rien dire avec certitude.

Propos recueillis par Julien Mollereau

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