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[Football] Toutou, poterie et nul fou : les expats buzzent de partout 


L'attaquant danois de Mayence, Marcus Ingvartsen et le milieu de terrain allemand de Dortmund, Emre Can, se disputant le ballon hier. Un match dans lequel Barreiro n'est pas apparu. (photo AFP)

Entre la qualif rocambolesque de Maxime Chanot, l’hommage loupé de Belmin Muratovic et les photos canines d’Anthony Moris, les Luxembourgeois ont buzzé à tout va ces jours-ci.

ALLEMAGNE Au repos forcé depuis deux semaines en raison d’une épidémie de covid dans son vestiaire, Mayence a longtemps cru s’offrir un nul de prestige pour sa reprise hier. Mais, opposés au Borussia Dortmund lors du premier de leurs deux matches de retard, les «Nullfünfer» ont fini par céder à la 87e minute face au dauphin du Bayern. Le tout sans Leo Barreiro, pas sur la feuille…

BELGIQUE Leader sur le terrain et leader canin. L’Union Saint-Gilloise a annoncé hier le lancement de l’Union Veeweyde, une équipe 100 % animale, en partenariat avec un refuge pour animaux bruxellois. Dans les faits, cela s’est traduit par un shooting mêlant joueurs et toutous, auquel Anthony Moris s’est prêté. Les diverses photos seront ensuite encadrées et vendues aux enchères, vente dont les bénéfices seront reversés au refuge. Alors, combien le cliché de Moris posant avec un American Staff dans les gradins de Joseph-Marien ?

 

ÉTATS-UNIS Abolie en Europe, la règle du but à l’extérieur comptant double en cas d’égalité est toujours en vigueur en Amérique du Nord. Une bonne nouvelle pour Maxime Chanot, titulaire au cœur d’une défense à trois, et New York City FC, renversés dans les 20 dernières minutes et battus 4-2 par les Guatémaltèques du Comunicaciones FC dans la nuit de mardi à mercredi, en quarts de finale retour de la Ligue des champions de la Concacaf. Vainqueurs 3-1 à l’aller, soit un nul 5-5 sur l’ensemble des deux matches, les «Blues» rallient donc le dernier carré de la compétition pour la première fois de leur histoire.

(photo Twitter)

ROUMANIE Cela partait d’un bon sentiment. Soucieux d’afficher leur soutien à l’Ukraine, les joueurs de Iasi, dont l’ancien niederkornois Belmin Muratovic, sont entrés samedi sur la pelouse avec des tee-shirts comportant chacun une lettre. Le but : former, une fois alignés, le message «Stop war». Manque de bol, Muratovic et ses équipiers ont fait leur entrée en sens inverse, et le message s’en est retrouvé bouleversé : «Raw pots». Soit «pots bruts», en anglais. Un peu moins engagé, d’un coup… Mais pas de quoi faire perdre son football au Luxembourgeois, auteur d’une passe décisive (sa 2e en 3 apparitions) lors de la victoire face à l’Astra Giurgiu (3-1).

 

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