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Tensions au Groupe de support psychologique


illustration Editpress/Jean-Claude Ernst

Le chef et 14 membres du Groupe de support psychologique (GSP) de la Protection civile ont posé leur démission. Ces dernières n’ont pas encore été acceptées par l’administration des Services de secours.

Ces démissions collectives font suite au procès du curé de Belair poursuivi pour viol sur mineur à la mi-novembre 2016. L’homme d’Église avait été acquitté le 20 décembre dans cette affaire.

Lors de ce procès, le chef de groupe adjoint du GSP avait apporté son soutien au prévenu, provoquant des remous au sein du GSP. Après ses déclarations, relayées à l’antenne de RTL, le chef de groupe adjoint avait été suspendu provisoirement de ses fonctions par l’administration des Services de secours et une instruction disciplinaire avait été lancée à son encontre. Elle n’avait finalement abouti à aucune sanction.

Le chef de groupe adjoint, réintégré, avait finalement décidé de démissionner de son poste, mais voulait rester dans le service actif au sein du GSP. Ce qui semble aujourd’hui poser problème à 15 de ses collègues, dont son chef.

Le Quotidien

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