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« The Storm » au Kirchberg : majeurs et tatoués ! [photos]


Parfois, le tatouage a bon dos... (Photo Alain Rischard)

Dans les halls de la foire internationale au Kirchberg, la convention The Storm a réuni quelque 350 tatoueurs du monde entier, pendant trois jours.

Un bourdonnement à n’en plus finir et partout autour du visiteur, des corps allongés sur des lits pliables. Cola, le tatoueur maori, tient la jambe de Steve. Ce dernier explique : «C’est un tatouage polynésien et c’est le tatoueur qui décide de quoi aura l’air le dessin. Pour ma part, je n’ai fait qu’indiquer un endroit sur mon corps.» Combien de temps lui faudra-t-il pour le terminer ? «Il faut compter entre deux et trois heures», estime Steve, qui visiblement à une patience d’ange.

Mais pourquoi porter des tatouages ? «Je ne sais pas, moi. Probablement parce que cela me plaît. Les tatouages, c’est quelque chose de personnel. Ce n’est pas pour quelqu’un d’autre que je le fais. C’est beaucoup trop douloureux», plaisante Steve.

Les tatouages polynésiens comptent parmi les plus populaires, comme en général tous les motifs exotiques. Ils se composent souvent de cases, dont chacune a sa signification. Transformer son propre corps en livre d’histoire, voilà qui semble une des principales motivations derrière le tatouage.

À moins que ce ne soit une façon de s’approprier son corps. Paul est allongé sur le ventre, en train de consulter son smartphone. Sur sa peau, se dessine «un tatouage japonais, une Geisha portant un masque. J’aime le côté modification du corps, c’est cool. J’aime ce lieu : il n’y a pas d’étiquette», raconte-t-il…

Frédéric Braun

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Retrouvez le reportage complet dans Le Quotidien papier de ce mardi

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