Accueil | Economie | Intempéries : les demandes de chômage partiel disponibles en ligne

Intempéries : les demandes de chômage partiel disponibles en ligne


De nombreuses entreprises ont été touchées par les inondations de juillet dernier. (illustration Didier Sylvestre)

Les entreprises particulièrement touchées par les intempéries des 14 et 15 juillet peuvent, dès ce mardi, demander à bénéficier du chômage partiel, et ce, jusqu’au 31 juillet. Le ministère du Travail, de l’Emploi et de l’Économie sociale et solidaire, et celui de l’Économie détaillent dans un communiqué comment introduire les demandes.

Depuis ce mardi, il est possible pour les entreprises de se connecter sur le site MyGuichet.lu et d’adresser une demande auprès de l’État pour bénéficier du chômage partiel. Sont éligibles les sociétés « qui rencontrent des difficultés économiques ou sont dans l’impossibilité de continuer leur activité habituelle » en raison des inondations, explique le communiqué. Certaines entreprises ont en effet vu leur matériel de production, leur stock ou leurs locaux endommagés, voire détruits par les intempéries qui se sont abattues sur le Grand-Duché la semaine dernière.

Pendant la période de chômage partiel, l’État rembourse à l’entreprise 80 % des salaires normalement perçus par les salariés concernés pendant les heures chômées, est-il expliqué sur MyGuichet. À noter toutefois que toutes les entreprises travaillant sur des chantiers dans les secteurs du bâtiment et du génie civil ne peuvent bénéficier de cette aide, mais ils pourront bénéficier « du chômage dû aux intempéries ».

Toutes les informations sont disponibles sur MyGuichet, et pour toutes questions, les entreprises concernées peuvent aussi contacter le secrétariat du comité de conjoncture au 8002-9191 ou par e–mail à emploi@eco.etat.lu.

LQ

 

PUBLIER UN COMMENTAIRE

*

Votre adresse email ne sera pas publiée. Vos données sont recueillies conformément à la législation en vigueur sur la Protection des données personnelles. Pour en savoir sur notre politique de protection des données personnelles, cliquez-ici.