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La légende Lego construite brique par brique


La population Lego se compose de 4 milliards de personnages. Ils devraient même être plus nombreux que les humains d'ici à 2019. (Photo AFP)

Tout le monde connaît les célèbres Lego. Dans nos souvenirs de gosse, ou ceux de nos gamins, ils restent synonymes d’heures passées à bâtir d’imprenables forteresses, entre autres édifiantes épopées dans des contrées nées de notre imaginaire débordant.

C’est ainsi que la marque danoise a construit sa légende, brique par brique. Sur le web, on peut découvrir tout un tas de choses à ce sujet. Le site soocurious.com, notamment, a répertorié quelques unes des infos les plus insolites.

On apprend par exemple qu’en 2012, Lego a fabriqué 45 milliards de ses briquettes. Pour qui a toujours rêvé de décrocher la Lune, sachez qu’ « une colonne de 40 milliards aurait suffi » à l’atteindre. De même, entre 1979 et 1981, les plus anciens salariés de l’entreprise se sont littéralement fait des briques en or… 14 carats. Elle sont « aujourd’hui estimées à 15 000 dollars chacune ». Assez fou aussi, le fait qu’avec une production de « plus de 318 millions de pneus par an », Lego dé-gomme tous les constructeurs du monde !

Encore plus dingue, il existe « plus de 915 millions de combinaisons possibles pour seulement six briques ». Le casse-tête le plus complexe de l’Histoire, sans doute. Autre fait étonnant, la population Lego se compose de 4 milliards de personnages. Ils devraient même être plus nombreux que les humains d’ici à 2019 ! À noter qu’au tout début, les bonshommes « étaient asexués et n’avaient ni bras, ni visage, ni jambes amovibles ».

Le jeu continue d’inspirer des générations entières. Dernièrement, les parodies de films mettant en scène les figurines se multiplient sur la toile. La plus réussie du moment est probablement celle du septième épisode de la saga Star Wars, The force awakens, dont la sortie au cinéma est prévue en fin d’année. Star Wars, qui fut par ailleurs la première licence acquise par la marque en 1999.

Franchement, ça casse des briques, non ?

Alexandra Parachini

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