Accueil | Culture | « Capitani » : la série thriller luxembourgeoise à (re)voir sur Netflix

« Capitani » : la série thriller luxembourgeoise à (re)voir sur Netflix


La forêt de Manscheid renferme de lourds et sombres secrets... (photo Netflix)

La série « Capitani », sortie en 2019, est disponible depuis le 11 février sur la plateforme de streaming Netflix. L’occasion de redécouvrir ce thriller policier made in Luxembourg.

Netflix se met au luxembourgeois avec Capitani, créée par Thierry Faber et réalisée par Christophe Wagner, produite par Samsa Film.

L’intrigue, complexe, se déroule dans le Nord. A Manscheid, précisément, où la mort mystérieuse d’une adolescente de 15 ans vient troubler la quiétude apparente de la commune. Ici, « tout le monde connaît tout le monde » et cache bien des secrets. Pour tenter de les découvrir, un inspecteur venu de la Capitale (Luc Schiltz) et deux policiers locaux (Sophie Mousel et Joe Dennewald). Le « flic de la Ville » dont la présence dérange, même s’il insiste sur le fait d’être originaire du Sud (« Je suis né dans les Terres Rouges », répète-t-il), va très vite se confronter à des habitants rétifs bien décidés pour certains à entraver l’enquête.

Les douze épisodes relativement courts (moins de 30 minutes) en font une série propice au « binge-watching », c’est-à-dire à regarder d’une traite. Avec, en prime, une belle balade dans les vallées verdoyantes de l’Oesling en plein été.

En attendant une possible saison 2, qui aurait déjà été commandée.

LQ

3 plusieurs commentaires

  1. « Avec, en prime, une belle balade dans les vallées verdoyantes de l’Oesling en plein été. »
    Sauf que le tournage a eu lieu principalement à Bourglinster, donc bien loin de l’Oesling. Le Lycée du Nord est le seul décor ardennais de la série.

  2. Ah non, il ne vient pas de la capitale, Capitani. Il vient d’ESCH/sur/Alzette… et il insiste à plusieurs reprises… il ne veut pas être un « Staater »…lol

    • alexandra parachini

      Oui vous avez raison, il insiste sur le fait qu’il est « né dans les Terres Rouges ». Mais travaillant à la police judiciaire, il est perçu comme venant « de la Ville »

PUBLIER UN COMMENTAIRE

*

Votre adresse email ne sera pas publiée. Vos données sont recueillies conformément à la législation en vigueur sur la Protection des données personnelles. Pour en savoir sur notre politique de protection des données personnelles, cliquez-ici.