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Le siège n°42 aura finalement sa place au stade de Lyon


Le président de l'OL, Jean-Michel Aulas, a finalement changé d'avis après une polémique naissante. (Photo AFP)

Ce n’est pas l’affaire du siècle, mais c’est en tout cas celle du siège ! Après un début de polémique, attisée mercredi par un sénateur, l’Olympique Lyonnais (OL) est revenu sur son choix initial de ne pas attribuer dans son futur stade de siège ni de loge siglés 42, numéro du département de l’éternel rival Saint-Étienne.

«Pour permettre à tous ceux qui nous ont fait des remarques d’apprécier, j’ai pris la décision de maintenir le 42 dans le Grand stade» actuellement en construction, a twitté mercredi soir Jean-Michel Aulas, président de l’OL.

Au départ, l’OL a argué une pointe de dérision pour justifier son choix et s’est défendu de toute attaque envers son adversaire de Ligue 1. «C’est un clin d’œil, mais pas du tout un manque de respect. Le derby, c’est ça aussi. Il faut le laisser au niveau de l’humour», avait alors expliqué le directeur de la communication du club.

Mais cette boutade a déclenché le courroux de supporters stéphanois et plus particulièrement celui du sénateur socialiste de la Loire, Maurice Vincent.

Mercredi, ce dernier a usé de la tactique du gendarme et en a même appelé au sénateur-maire de Lyon, Gérard Collomb, «afin qu’il puisse faire entendre au club rhodanien la voix de la raison sur cette affaire symbolique qui dépasse largement le cadre du football». Rien que ça.

«La pelouse sera verte et les Stéphanois seront les bienvenus au Grand stade, notamment pour voir gagner l’OL», lui a répondu l’intéressé sur son compte Twitter, non sans un dernier petit tacle sifflant la fin d’un match… franchement nul.

Le Quotidien Web (avec AFP)

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