La gestion de «Séba» Thill, les certitudes sur Borges, la non-sélection de Bohnert et la surprise Omosanya… On a beaucoup parlé attaque, vendredi, à Mondercange.
Se retrouver à parler avec Luc Holtz de son secteur offensif au moment de l’annonce de sa liste, alors que ses Roud Léiwen s’apprêtent à rencontrer coup sur coup la Serbie et le Portugal dans le cadre des éliminatoires du Mondial-2022, c’est curieux mais joyeux. C’est fait sous l’impulsion du moment, de l’exploit madrilène de Sébastien Thill avec le Sheriff, de la montée en puissance de Danel Sinani à Huddersfield, des débuts très encourageants de Gerson Rodrigues à Troyes, des jolies promesses des petits jeunes (Leandro Borges, Timothé Rupil) entrevues contre le Qatar. Et cela continue à relocaliser le débat : même face aux 28e et 7e nations mondiales, on peut, on doit même, parler football. Surtout quand c’est aussi intéressant.
Thill ? «Qu’il voie sa famille»
Sébastien ...
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