Accueil | Sport national | La FLF méconnaît la réalité du terrain, tacle l’US Hostert

La FLF méconnaît la réalité du terrain, tacle l’US Hostert


Pour Hostert, il est urgent que tout le monde se mette à table pour moderniser le système. (illustration Julien Garroy)

Décidément, la tension autour du transfert de Stefan Lopes ne s’apaise pas. L’US Hostert s’agace de la position de la FLF.

Hostert et son président, Jacques Wolter, ne lâchent pas le morceau. Après le transfert acté de Stefan Lopes à Mondorf et les passes d’armes avec le joueur, c’est la prise de position de la fédération (dans notre édition papier de samedi) qui a fait se hérisser le poil de l’US Hostert.

Le club, qui a fait signer un contrat à Lopes cet hiver, était hérissé du fait que le joueur ait opté pour Mondorf ? La position de la FLF, par la voix de Joël Wolff (la fédération n’a rien à voir avec les contrats privés signés entre les clubs et les joueurs, surtout quand ils précèdent l’affiliation du joueur auprès de ses services), a remis de l’huile sur le feu de son argumentation : «La réalité sur le terrain est tout autre. Le recrutement de joueurs commence dans tous les clubs bien avant le début des périodes de transferts (NDLR : celle de l’été s’est justement ouverte ce week-end). Il est donc bien évidemment nécessaire pour le joueur et le club de consigner leur accord dans un contrat avant l’arrivée des documents officiels pour avoir une sécurité et ne pas être à la merci d’un revirement de dernière minute (sans en avoir une garantie ultime comme dans notre cas). Il en est de même d’un accord de transfert préalable entre les deux clubs concernés.»

Bref pour Jacques Wolter, la FLF méconnaît la réalité du terrain. Il maintient donc sa requête : que tout le monde se mette à table pour moderniser le système.

Julien Mollereau

PUBLIER UN COMMENTAIRE

*

Votre adresse email ne sera pas publiée. Vos données sont recueillies conformément à la législation en vigueur sur la Protection des données personnelles. Pour en savoir sur notre politique de protection des données personnelles, cliquez-ici.