Neil Pattison est certain que son Etzella, plombé par des départs importants, tiendra la route. Cela ne l'empêche pas d'avoir un discours sans langue de bois sur la désertion des jeunes formés au club.
La période officielle pour les transferts au pays est passée. Le vivier ettelbruckois a été pillé tout ce printemps. Pimentel au Fola et Holtz au Progrès étaient des départs attendus et logiques, mais Rodrigues à Rosport, Medina à Differdange, Barrela à Pétange... ont singulièrement miné le moral des dirigeants et du staff technique. Qui y va cash dans ses explications.
Neil Pattison. (photo archives Editpress/Marcel Nickels)
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