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Traquer les discriminations : CET toujours dans votre intérêt…


Les discriminations, ethniques, sexuelles, physiques ou religieuses, se nichent partout dans la société. Le Centre pour l’égalité de traitement (CET) veille. Et lance les alertes. Son rapport annuel vient d’être transmis au ministère de la Famille et de l’Intégration.

Un regard en coin, un geste déplacé. Des propos maladroits, parfois blessants. Sur votre nom de famille, votre apparence physique. Sur la nature de vos relations intimes ou vos croyances. L’endroit où vous habitez, votre milieu social.

Ça arrive tout le temps, partout. Dans la vie quotidienne, au boulot, à l’école. Toutes ces situations se résument en un mot : discrimination. C’est aujourd’hui anodin, d’une insolente banalité, de dénigrer ceux qui nous entourent, que l’on croise seulement ou que l’on côtoie régulièrement. Une façon de prendre l’ascendant et manifester son autorité sur autrui. Quand cela ne traduit simplement pas une forme de rejet de ceux qui ne nous ressemblent pas, qui agissent ou pensent différemment.

Reste que, dans un sens comme dans l’autre, ça peut vite devenir un enfer à vivre. Des instances veillent toutefois à contenir ces travers de la société. Du moins à les identifier pour mieux les réprimer. À l’instar du CET. Depuis près d’une décennie, l’organisation luxembourgeoise traque les comportements abusifs et alerte les autorités gouvernementales.

Parmi les 145 nouveaux dossiers instruits l’an dernier au Luxembourg, une majorité concerne le handicap ainsi que la discrimination raciale. Ceci en ce qui concerne l’accès au logement ou à l’emploi.

Alexandra Parachini

Article à lire en intégralité dans l’édition papier du Quotidien de ce vendredi.

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