Accueil | Politique-Société | Police : après les tensions, le dialogue

Police : après les tensions, le dialogue


Le ministre Henri Kox (au c.) a échangé avec Marlène Negrini et Christian Hoffmann.

La nouvelle présidente du SNPGL, Marlène Negrini, et le ministre de la Sécurité intérieure, Henri Kox, ont effectué un «tour d’horizon» des moyens mis à la disposition de la police.

Les dernières années ont été marquées par d’importantes tensions entre le Syndicat national de la police grand-ducale (SNPGL) et le ministre de la Sécurité intérieure, Henri Kox. Après le départ du président Pascal Ricquier, qui se présente sur la liste Sud du CSV aux législatives, le syndicat est désormais présidé par Marlène Negrini. Avec son secrétaire général, Christian Hoffmann, elle a été reçue mardi par le ministre déi gréng.

Selon un communiqué, un «tour d’horizon des dossiers en cours» a été effectué lors de cette entrevue. Toujours selon cet écrit, les deux camps étaient «unanimes» sur le besoin de continuer à poursuivre le recrutement en grand nombre de policiers. Malgré le succès des récentes campagnes, il existerait toujours une «différence entre recrutement et disponibilité sur le terrain». Dans ce contexte, le ministre de la Sécurité intérieure a confirmé une quatrième vague de recrutement.

Le développement des infrastructures et des moyens mis à la disposition de la police, notamment en termes d’infrastructures et d’outils digitaux, a été un autre sujet majeur de cette entrevue bilatérale.

«Il est primordial que nous travaillions ensemble en bonne coopération afin d’assurer de bonnes conditions pour nos forces de l’ordre», a déclaré Henri Kox, cité dans le communiqué. Marlène Negrini a, quant à elle, salué «l’ouverture au dialogue et la compréhension mutuelle des interlocuteurs réunis».

PUBLIER UN COMMENTAIRE

*

Votre adresse email ne sera pas publiée. Vos données sont recueillies conformément à la législation en vigueur sur la Protection des données personnelles. Pour en savoir sur notre politique de protection des données personnelles, cliquez-ici.