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Davos : Frieden rencontre Zelensky


Luc Frieden et Volodymyr Zelensky.

Le premier ministre luxembourgeois a assuré que son gouvernement resterait solidaire de l’Ukraine sur le plan politique, humanitaire, militaire et économique.

Le Premier ministre, Luc Frieden, était hier à la 54e réunion annuelle du Forum économique mondial à Davos. Dans un monde fracturé, le thème choisi pour la présente édition du forum est «Rétablir la confiance», avec comme objectif de permettre la création de passerelles entre les différents acteurs des secteurs public et privé. Les thèmes abordés au cours du forum ont été la lutte contre le réchauffement climatique, la réduction des inégalités, la technologie et l’innovation.

En marge du forum, le Premier ministre a eu une entrevue bilatérale avec le président de l’Ukraine, Volodymyr Zelensky. Les échanges ont porté sur la guerre d’agression de la Russie menée contre l’Ukraine, la situation actuelle et la vision pour l’avenir. Il a été souligné qu’il est essentiel de défendre et préserver les principes de la Charte de l’ONU et de faire face aux conséquences humanitaires et économiques liées au conflit, souligne le ministère d’État. Luc Frieden a saisi l’opportunité pour louer le «courage du président ukrainien à l’approche du deuxième anniversaire de la guerre, et a pu réitérer la solidarité absolue du nouveau gouvernement luxembourgeois en faveur de l’Ukraine tant sur le plan politique, humanitaire, militaire et économique», selon le communiqué de presse du gouvernement.

Le Premier ministre a également eu l’opportunité d’échanger avec les chefs d’État et de gouvernement de la Suisse, de Singapour, de la Jordanie et du Liechtenstein.

2 plusieurs commentaires

  1. Le courage du president ukrainien consistant a envoyer sa jeunesse a l abattoir tandis qu il se prelasse a Davos.
    Frieden a bien fait de louer cela.

    • Bien d’accord avec vous avec le bémol que la jeunesse ukrainienne en état de se battre n’est plus. Les prisonniers (volontaires ou non) que font les russes actuellement ne concernent que des plus de 40 ans ou des moins de 20 ans.
      Comme en Allemagne en 1944.

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