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Affaire « SchoolLeaks »: le calme après la tempête


Les esprits sont apaisés depuis hier matin dans le dénommé feuilleton SchoolLeaks. Les députés du CSV se félicitent que le ministre de l’Éducation nationale ait retiré ses accusations de complicité à leur encontre. Le spectre d’éventuelles poursuites judiciaires contre lui n’est plus agité.

Tout est bien qui finit bien. Les députés du parti d’opposition du CSV et le ministre de l’Éducation nationale, Claude Meisch (DP), semblent avoir enterré la hache de guerre, hier matin.

Réunis à huis clos en commission parlementaire de l’Éducation nationale à la demande de déi Lénk, députés chrétiens-sociaux et ministre de l’Éducation nationale ont opté pour la meilleure des solutions : à savoir celle de pacifier une situation devenue tendue, tout en se reconcentrant sur l’essentiel, les élèves en l’occurrence.

Au terme de deux heures de pourparlers, la députée chrétienne-sociale s’est ainsi réjouie que le ministre Claude Meisch ait retiré ses allégations, selon lesquelles, elle et Félix Eischen, auraient pu jouer un rôle de « complices » dans la fuite des sujets d’épreuves du cycle 4.2 par deux enseignantes d’Echternach, dont les domiciles ont été perquisitionnés.

Accusés de complicité dans cette affaire, les deux députés avaient pris leur disposition et menacés de poursuivre en justice le ministre, lundi dernier. Une menace qui a vraisemblablement été prise au sérieux, côté gouvernemental. Pour rappel, les deux parlementaires pointés du doigt s’étaient présentés à la presse – pour une conférence improvisée à la dernière minute – accompagnés de leur avocat, Me Georges Pierret.

Claude Damiani

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