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Jugé pour faux et défaut d’autorisation : «Il peut vendre des robinets, pas les poser»


Il suffisait d’appeler et Alexis envoyait un ouvrier. Jusqu’à ce qu’un travail mal fait mette les policiers sur une piste. (Photo : archives LQ/Julien Garroy)

En 2016, Alexis lance SOS Plombier. Cinq ans plus tard, l’entreprise n’existe plus et Alexis est jugé par défaut pour faux et usage de faux, entre autres.

Un client mécontent et tout s’emballe. Début décembre 2018, un habitant de la zone de police couverte par le commissariat Museldall à Remich fait appel à SOS Plombier pour vider la fosse septique de son domicile. En faisant une recherche sur internet, l’habitant cherchait les coordonnées de l’entreprise Lamesch et aurait été dirigé vers SOS Plombier. Pensant qu’il s’agit d’un sous-traitant, il fait confiance et prend rendez-vous.

Le 5 décembre 2018, un ouvrier se présente chez l’habitant. Son travail effectué, il aurait présenté une facture de 430 euros et aurait exigé un paiement immédiat en liquide. L’ouvrier n’aurait pas disposé de terminal de paiements par ...


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