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De la crèche au tribunal : six mois avec sursis requis contre l’ex-gérant


Outre la peine de prison, le parquet a requis une amende contre le quadragénaire. Mais il ne s’oppose pas à un sursis intégral. (Photo : archives lq/Isabella Finzi)

Le quadragénaire est poursuivi pour avoir produit un faux contrat de travail afin d’ouvrir une nouvelle crèche en 2013. La défense parle d’une négligence sans intention frauduleuse. Le parquet n’est pas d’accord.

«Je pense plutôt que c’était un problème de photocopies. Car mon client n’avait aucun intérêt à produire un quelconque faux.» Simple problème de photocopies, comme le clame la défense? Ou falsification du contrat de travail de l’éducatrice graduée en vue d’obtenir l’agrément pour l’ouverture d’une nouvelle crèche?

L’affaire, qui remonte à l’année 2013, se trouve aujourd’hui entre les mains de la 18e chambre correctionnelle. Elle doit trancher s’il y a infraction de faux en écritures dans le chef du quadragénaire qui gérait à l’époque avec sa société plusieurs crèches. Au terme de deux jours de procès, les débats se sont achevés mardi matin avec le réquisitoire du parquet.

À l’origine de cette affaire se trouve la plainte d’une jeune femme détentrice d’un master en sciences de ...


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