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Koh Lanta : « J’avais à cœur de me démarquer », confie la Messine Mégane


(Photo : DR)

Mégane, la Messine qui participe à Koh-Lanta ‘’Les chasseurs d’immunité’’ aux Philippines, a géré sans encombre la première partie de cette 25e saison. Ce mardi soir sur TF1, on la retrouvera avec Denis Brogniart pour le huitième épisode. Et pas n’importe lequel : celui de la réunification ! Un virage à ne pas louper dans l’aventure.

Mégane, tout d’abord félicitations. Ce mardi, c’est la réunification, 8 candidats ont déjà été éliminés et vous êtes encore là pour représenter la Lorraine !

Merci, je suis très contente, c’était la deuxième des trois étapes que je m’étais fixée : d’abord ne pas être la première éliminée, ensuite atteindre la réunification et enfin aller jusqu’à l’orientation pour espérer les poteaux.

Comment vous avez vécu la diffusion des premiers épisodes ?

C’est que du positif, je reçois beaucoup de messages, du courrier, des dessins d’enfants, beaucoup de personnes me suivent et ça fait super plaisir. Dans la rue aussi, dans les magasins, on me reconnait et les gens viennent me parler avec bienveillance. Et il y a mes proches, ma famille, qui sont super fiers et heureux que je sois restée moi-même dans l’émission : souriante et avec mon petit caractère.

On est à peu près à 20 jours d’aventure. Physiquement et dans la gestion de la faim, ça correspond à ce que vous imaginiez ?

J’ai été agréablement surprise, même si ça reste très dur. Pour vous donner une idée, on mange en moyenne 20 g de riz par jour et quelques crustacés. Mais sur l’île, je m’hydratais énormément et je pense que ça a atténué la sensation de faim. Avant de partir, je m’étais aussi conditionnée au pire : de la pluie tous les jours, aucune nourriture… Au final, les conditions n’étaient pas si mauvaises.

Vous avez épaté tout le monde lors de l’épreuve du paresseux en tenant plus d’une heure !

Et quelle chute (rires). C’est dommage car je suis déséquilibrée par Léa, j’aurais aimé voir combien de temps j’aurais pu tenir encore. J’avais à cœur de me démarquer lors d’une épreuve individuelle. C’était très dur, j’étais mal dès les premières minutes, la corde scie les avant-bras, j’ai encore des marques aujourd’hui ! Mais au bout de dix minutes, j’ai réussi à m’évader, à regarder le paysage et à mesurer la chance que j’avais. Par contre les jours d’après ont été difficiles, mes bras étaient tétanisés. Heureusement sur l’île, on a des grosses nuits de sommeil car dès que le soleil se couche, il n’y a plus rien à faire. Ça m’a aidé à récupérer.

Malgré une bonne entente générale, il y a eu plusieurs clashs entre des membres de votre équipe rouge. Comment les avez vous gérés ?

Je ne l’ai pas mal vécu, je m’y attendais, c’est normal. Il faut quand même se dire que du jour au lendemain, on vit et on dort avec des personnes qu’on ne connait absolument pas, et dans des conditions difficiles. J’ai essayé de rester au maximum à l’écart, car je sais qu’un petit grain de sable peut vite envenimer la situation et nous faire partir.

Sur Instagram au fil de l’aventure, vous affichez votre complicité actuelle avec pas mal de membres de votre équipe. On apercevra donc bientôt quelques jaunes ?

C’est possible mais je n’en dirais pas plus (rires). En tout cas, oui, on aime regarder l’émission entre nous, car on comprend mieux que personne ce qu’on a traversé. Et c’est aussi une toute nouvelle aventure, on apprend des choses. Par exemple Maxime qui a voulu garder des bananes pour lui, on l’a découvert devant la télé, il nous l’avait bien caché (rires). J’aime bien aussi découvrir la vie de camp des jaunes, car on ne les voyait qu’aux épreuves.

Pour gagner Koh-Lanta, il faut être à la fois fort dans les épreuves sportives et stratège en coulisses. On vous sent à l’aise dans les deux domaines, vous allez finir sur les poteaux !

Joker ! (rires) Ce qui est sûr c’est que j’ai essayé de miser sur mes capacités d’adaptation pour durer. J’ai toujours beaucoup voyagé, en me retrouvant seule à l’autre bout du monde et il fallait bien se débrouiller. C’est ma force, en plus de m’être préparée sportivement. Car autrement, je suis partie sans stratégie.

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