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Le Grand-Duc héritier, Franz Fayot et Claude Meisch ont visité le LCTR Fuerschungsklinik


Le centre regroupe des infrastructures de recherche de pointe qu'il met au service des chercheurs et cliniciens des hôpitaux et instituts de recherche luxembourgeois. (Photo SIP / Jean-Christophe Verhaegen)

Le LCTR Fuerschungsklinik a reçu la visite du Grand-Duc héritier Guillaume venu découvrir en compagnie de Franz Fayot et Claude Meisch, cette nouvelle infrastructure de recherche.

Le LCTR (Luxembourg Clinical & Translational Research Center) Fuerschungsklinik est le premier laboratoire de recherche nationale réunissant cliniciens, chercheurs et patients dans le but de traduire les résultats de la recherche en solutions thérapeutiques et de diagnostic tangibles. Le centre, qui a ouvert ses portes en décembre 2022, regroupe des infrastructures de recherche de pointe, des équipements médicaux ainsi que des compétences administratives qu’il met au service des chercheurs et cliniciens des hôpitaux et instituts de recherche luxembourgeois.

Ce mardi 20 juin, le Grand-Duc héritier, le ministre de l’Économie, Franz Fayot, et le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Claude Meisch, ont visité cette nouvelle infrastructure visant à améliorer les soins de santé et le développement socio-économique du Luxembourg. La visite a débuté par les discours de bienvenue du docteur Romain Nati (CEO du CHL) et du docteur Ulf Nehrbass (CEO du LIH), qui ont mis l’accent sur l’impact économique de cette structure.

Financé par le ministère de la Recherche

De son côté, le docteur Guy Fagherazzi, directeur du Département de santé de précision du LIH, a abordé un sujet clé de la santé numérique : l’impact sociétal de la recherche sur les biomarqueurs vocaux numériques et l’intelligence artificielle sur le suivi des patients. Enfin, le professeur Rejko Krüger, directeur du Transversal Translational Medicine (TTM) au LIH, a illustré la manière dont la recherche clinique peut être traduite en solutions de santé numérique personnalisées pour s’attaquer au fardeau de plus en plus important des troubles neurodégénératifs dans une société vieillissante.

Le LCTR est financé par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et bénéficie d’un soutien financier du Fonds européen de développement régional (FEDER), géré par le ministère de l’Économie.