La Medsafetyweek aura lieu du 7 au 13 novembre. Organisée dans le monde entier par l’OMS, cette campagne a pour but de sensibiliser le grand public à la sécurité des médicaments.
Tous les médicaments comportent des effets secondaires plus ou moins importants. Si ces derniers sont clairement identifiés dans les notices, certains peuvent échapper aux protocoles de sécurité ou ne pas être clairement identifiés.
C’est pourquoi toute personne (patient ou professionnel de santé) peut notifier une suspicion d’effet indésirable auprès des autorités compétentes. Cette vigilance constante permet de tenir à jour les informations sur les effets connus mais aussi d’en découvrir de nouveaux. En les signalant, chacun peut ainsi participer à l’identification des problèmes de sécurité sur certains médicaments et permettre la mise en place de mesures appropriés.
Pour sensibiliser le public à ces questions, l’OMS organise, du 7 au 13 novembre, la Medsafetyweek, une semaine de prévention sur la sécurité des médicaments et la manière dont chacun peut y prendre part.
Des pharmaciens comme ambassadeurs
Pour cette édition 2022, les pharmaciens du Luxembourg ont été choisis par la Direction de la santé comme ambassadeurs de la sécurité des médicaments. «Afin de rendre plus sûr l’usage lié aux médicaments, nous encourageons les patients ainsi que les professionnels de santé à participer activement en déclarant tout effet indésirable lié à une prise de médicament», a déclaré la ministre de la Santé, Paulette Lenert.
Au Luxembourg, ces déclarations sont traitées par deux institutions : la division de la pharmacie et des médicaments de la Direction de la santé et Centre régional de pharmacovigilance de Nancy. Les effets indésirables peuvent être signalés à son médecin traitant ou à un pharmacien. Mais les patients peuvent également les déclarer eux-mêmes en remplissant le formulaire disponible sur www.guichet.lu/pharmacovigilance.
Chaque déclaration permet de récolter davantage d’informations. Ainsi, si un risque nouveau apparaît suite à la prise d’un médicament, les autorités publiques peuvent décider de modifier l’usage de ce dernier afin d’assurer la sécurité des patients.
no problem, la moitié des médicaments manquent !!! en pharmacie ici. on se croit dans la brousse, si le pharmacien vous dit: allez voir dans 1 phamacie en france…