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Paris-Roubaix : «Pourquoi pas moi ?», espère Christine Majerus


«De me dire qu’à Paris-Roubaix, cela peut être mon tour, cela m’a aidé à ne pas trop réfléchir.» (archives AFP)

Christine Majerus se remet juste d’un rhume, mais garde sa passion intacte pour cette classique qu’elle disputera ce samedi et où elle avait pris la 11e place l’an passé malgré une chute.

Comment ne pas se souvenir de cette chute, qui comme dans un effet domino, une colonne de concurrentes placées en file indienne, allaient s’affaler? Nous étions à 18 kilomètres de l’arrivée. Christine Majerus se trouvait dans le sillage d’Ellen van Dijk alors que Marianne Vos qui finira deuxième sur le vélodrome de Roubaix, venait juste d’attaquer. Le peloton alors posté en chasse de Lizzie Deignan, partie en douce à quelque 82 kilomètres, ne reviendra jamais. Onzième à l’arrivée, Christine Majerus avait été brillante ce samedi 3 octobre sur le pavé boueux de l’Enfer du Nord. Elle y revient aujourd’hui dans d’autres conditions, mais évidemment avec une passion similaire, voire accrue!

Dans quelles dispositions êtes-vous à la veille de la course?

Christine Majerus : J’ai eu un léger contretemps ce week-end puisque je suis tombée un peu malade lors des dernières reconnaissances. J’étais en très en bonne forme jusque-là. Bon, on sait en tant qu’athlète, que c’est justement lorsqu’on est en forme, qu’on est susceptible d’attraper ça. J’ai tout fait pour rester en bonne santé, mais malheureusement, on ne peut pas tout contrôler. Bon, ce n’était qu’un rhume, ce qui est déjà bien. Du coup, j’ai dû adapter mon approche, car cela ne ...


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