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Fiscalité : un répit pour les frontaliers


Une équipe dédiée répond aux interrogations des contribuables. (Photo : Editpress)

Les frontaliers étaient censés avoir jusqu’au 31 octobre prochain pour choisir leur régime fiscal de 2018.  Une deadline qui est finalement repoussée.

Le nouveau régime fiscal qui attend les travailleurs frontaliers mariés continue à causer des sueurs froides. L’Association luxembourgeoise des employés de banque et assurance (ALEBA) a annoncé avoir pu calmer le jeu. Les travailleurs concernés avaient en effet été appelés à communiquer avant le 31 octobre quel régime fiscal ils souhaitent se voir appliquer à partir de 2018. Le choix est a priori simple : accepter le taux proposé par l’administration des Contributions directes (ACD) ou demander un nouveau calcul du taux proposé.

Hier, l’ALEBA a annoncé que ses échanges avec l’ACD avaient porté leurs fruits. «Toute demande sera prise en considération, même si elle est déposée après le 31 octobre», s’est vu assurer le syndicat. Il s’agit d’un répit supplémentaire, notamment pour les travailleurs qui n’ont pas encore reçu le courrier avec la proposition de leur nouveau taux d’imposition.

Dès mardi, le LCGB avait mis en garde contre des taux «nettement sous-estimés» et également critiqué la date limite.

Le Quotidien.