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Croix-Rouge luxembourgeoise : où vont vos dons?


Le Mois du don démarre le 1er avril pour la Croix-Rouge luxembourgeoise (Photo : Herve Montaigu).

La Croix-Rouge luxembourgeoise lance son traditionnel «Mois du don». Objectif : récolter des dons pour soutenir les différentes activités nationales et internationales de l’association.

Depuis plusieurs décennies, la mission de la Croix-Rouge luxembourgeoise est clairement définie : «(…) aider les personnes vulnérables à vivre dignement et de manière autonome…» Pour atteindre cet objectif, elle met en place de nombreuses actions nationales et internationales grâce aux dons. Tour d’horizon :
• Le Fonds de solidarité de la Croix-Rouge, exclusivement alimenté par les dons, permet d’attribuer des aides financières individuelles à des personnes ne pouvant pas répondre à leurs besoins primaires (231 demandes en 2017).
•Le Fonds d’urgence internationale permet d’agir en urgence notamment après des catastrophes naturelles. En 2017, un million d’euros a été débloqué pour répondre aux besoins immédiats de personnes menacées par la famine en Somalie, en Éthiopie, au Nigeria, au Soudan du Sud et au Yémen.
•La mission du HIV Berodung est de prévenir des infections telles que les hépatites, les infections sexuellement transmissibles, dont le VIH… En 2017, 627 tests de dépistage ont été réalisés.
•Le Service vacances propose des séjours de vacances aux enfants et aux jeunes indépendamment de leur contexte familial, économique ou d’un éventuel handicap (25 séjours de vacances ont été organisés en 2017 pour 635 enfants).
•Les épiceries sociales (Buttek) fournissent aux personnes touchées par la pauvreté de la nourriture et des produits d’usage quotidien à environ un tiers du prix du marché. En 2017, 2 134 ménages ont reçu des denrées alimentaires et des produits d’usage quotidien.
•Le service Iris (anciennement appelé Eng Hand fir déi Krank) a pour mission de lutter contre la solitude et l’isolement des personnes vulnérables. Il encourage et soutient le maintien d’un lien social pour les personnes touchées. Des bénévoles effectuent des visites une fois par semaine pour partager avec elles des activités.

Guillaume Chassaing.

Reportage complet, chiffres clefs et perspectives à retrouver dans notre édition papier de ce mercredi 29 mars.

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