Une Suédoise a porté plainte contre un homme éconduit qui, pour se venger, avait lâché un vent chez elle avant de disparaître.
La police a décidé qu’il n’y avait pas matière à poursuivre, l’intention étant impossible à prouver. Selon la « victime », l’indélicat, accueilli dans son appartement en vue d’une relation charnelle, s’est abandonné après qu’elle eut changé d’avis et se fut refusée à lui, a précisé jeudi le quotidien Hallandsposten sur son site internet.
« Ça sentait très mauvais », a-t-elle écrit dans sa plainte en demandant réparation pour attentat à la pudeur, délit passible d’un an de prison.
Après réflexion, les enquêteurs suédois ont convenu de refermer le dossier. « Il est impossible de prouver qu’il ait lâché un pet intentionnellement », a expliqué le porte-parole de la police locale, Kenneth Persson.
AFP