OGBL, LCGB et CGFP fustigent lourdement la passivité du gouvernement pour atténuer la crise énergétique.
Dans un communiqué datant du 10 mars, OGBL et LCGB se disent «sidérés par la lenteur avec laquelle le gouvernement se réveille pour venir à l’aide des ménages et des entreprises.
Dans les faits, ils sont laissés-pour-compte, car ils devront continuer à porter les frais de la crise énergétique au moins jusqu’à Pâques». Finalement, gouvernement, syndicats et patronat vont se réunir quatre semaines plus tôt. Cela ne change rien aux sévères critiques émanant du camp syndical.
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