Le Centre de soins pour la faune sauvage s'apprête à accueillir entre 40 et 60 animaux blessés et en détresse par jour au cours des prochaines chaudes semaines. Le point avec son directeur.
Le Centre de soins pour la faune sauvage de Dudelange s'attend à une charge de travail corsée au cours des prochaines semaines. En effet, le nombre d'animaux sauvages à recueillir et à soigner ne devrait cesser d'augmenter au fil des jours, parallèlement à la hausse des températures. Mais avant de se projeter dans un futur proche, un petit retour en arrière avec le directeur Raf Stassen s'impose afin de se rendre compte du fonctionnement du centre durant le confinement. «Tout au début du confinement, nous avons rencontré des problèmes au sein de notre équipe, car sept de nos membres fixes ont été mis en quarantaine ou étaient malades de la grippe. Certains étaient de retour d'un voyage à l'étranger. Covid-19 ou grippe, ils ont été priés de rester chez eux, sur ordre médical.»
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