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David André : «Une mélodie peut toucher plus intensément qu’une phrase»


Gregario, le nom du nouveau projet de Daniel André, «se réfère aussi à l'équipier, au porteur d'eau. Il colle bien à mon projet, à savoir me lancer en solo alors que je suis habitué à jouer en équipe.» (Photo : Dirk Mevis)

On l'a connu à la basse, à la guitare et aux claviers dans divers groupes d'importance (Balboa, Metro, Mount Stealth). Cette fois-ci, sous le nom de Gregario, David André lance son propre projet, accompagné d'un seul piano et d'un batteur. Son premier EP sort même ce vendredi. Entretien.

Il a souvent été dans l'ombre et ne s'en est jamais plaint. Voilà des années maintenant que David André sillonne les scènes du Luxembourg et d'un peu plus loin avec la même retenue. Tranquille, attentif à sa musique et à celle de ses camarades de jeu. En 2018, pour les Congés annulés des Rotondes, voilà qu'il tentait l'exercice du solo. Un saut dans le vide, sans filet, qui restera unique, puisque, depuis, son projet Gregario ne donnait aucun signe de vie. Aujourd'hui pourtant, c'est sous ce nom qu'il sort un premier EP (Whistleblowers), six titres qui ont vu le jour fin 2019-début 2020 aux Unison Studios, sous les mains de Tom Gatti. Des morceaux délicats et planants portés simplement par un piano et la douce batterie de Paul Fox. ...

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