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[Football] Emmanuel Françoise au Swift, c’est fait, Jeff Strasser en bonne voie


Jeff Strasser n'a pas encore officiellement donné sa réponse au Swift mais dans l'esprit des décideurs hesperangeois, il y a désormais matière à se montrer très optimiste.

Hesperange devrait commencer à boucler pas mal de dossiers ces prochains jours. Celui de sa première recrue phare est acté. Celui de son coach pourrait suivre sous peu.

Cela fait quelques jours que c’est bouillant mais c’est désormais quasi officiel : Emmanuel Françoise sera un joueur du promu hesperangeois la saison prochaine. Le club a confirmé ce que le Progrès Niederkorn avait cru bon d’interpréter à l’occasion de la renégociation du contrat de son attaquant de 33 ans : l’ancien joueur du F91 et du Fola ira bien finir sa carrière sur les hauteurs du Holleschbierg. Il va renforcer un secteur offensif hyper-impressionnant, déjà flanqué pour le moment de Frédéric Marques, Omar Er Rafik, Nicolas Perez…

Mais cette confirmation n’était plus devenue ces derniers jours qu’une question de temps. Tous les regards sont désormais rivés sur l’homme qui devra conduire cette armada au moins jusqu’au podium la saison prochaine. Le Fola avait confirmé implicitement que son offre de prolongation à Jeff Strasser s’était, elle, heurtée à une offre concrète et forcément compétitive du club désormais sponsorisé par Flavio Becca. C’était un peu « projet contre projet » et du côté du club hesperangeois, on a fait savoir ce dimanche soir qu’on attendait une réponse sous peu et qu’on l’espère positive. Rien d’officiel, mais un optimisme assez marqué qui augure d’un accord. Et qui ne fait pas l’impasse sur la question de la mission qui serait confiée, le cas échéant, à Dan Theis, qui a fait le boulot cette saison pour placer Hesperange au sommet de la Promotion avant l’interruption du championnat. Et là, quasiment plus l’ombre d’un doute : il serait mis à disposition du F91, où le contrat de Bertrand Crasson touche à sa fin.

Le retour du Swift en DN, six ans après qu’il l’a quittée, s’annonce vertigineux. Et Dudelange va cette fois servir de variable d’ajustement.

Julien Mollereau

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