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[Volley-Ball] Kamil Rychlicki, son dernier match avec Strassen


Kamil Rychlicki portera pour la dernière fois, ce samedi, un maillot de Strassen qu'il porte depuis onze ans. (Photo archives Julien Garroy)

[Novotel ligue – finale] Kamil Rychlicki disputera, ce samedi soir face à Walferdange, son tout dernier match avec Strassen. L’occasion de le soumettre à une interview «premières fois».

PREMIER SPORT

«Comme j’étais trop jeune pour faire du volley, j’ai suivi un copain qui faisait du karaté. Mais je ne sais même pas si je suis resté une saison complète.»

PREMIER CLUB

«Strassen. Mes parents étaient tous deux d’anciens professionnels et ont tous deux fini leur carrière au Luxembourg. Mon père a joué à Bertrange, tout comme ma mère. Je ne me souviens pas précisément de mon premier entraînement, mais je sais que j’étais particulièrement heureux. C’était à Srassen, j’avais 8 ans. »

PREMIER MAILLOT

«J’étais en Pologne avec mes parents et nous étions allés voir un match de la sélection. En repartant, ils m’ont acheté le maillot de Mariusz Wlazly qui a été élu meilleur joueur du Mondial-2014.»

PREMIÈRE IDOLE

«Ronaldinho. D’ailleurs, j’avais acheté son tricot, celui du Brésil. C’était juste l’époque où il quittait le PSG pour Barcelone. J’étais impressionné par son aisance technique. En plus, il donnait l’impression d’être un mec très sympa. Le football ? J’ai passé des journées entières à y jouer, mais je ne me suis jamais inscrit dans un club. Pourtant, je n’étais pas maladroit mais moi, ce qui m’intéressait, c’était le volley.»

PREMIER TROPHÉE

«La Coupe de Luxembourg avec les minimes. Et si ma mémoire est bonne, je crois que c’était contre Walferdange.»

PREMIÈRE CIGARETTE

«Comme tout le monde, j’ai essayé une fois. J’avais 15 ans. Mais voilà, je ne suis pas un fumeur.»

PREMIÈRE BLESSURE

«C’était avec l’équipe nationale junior lors d’un tournoi amical. Lors d’un saut, je suis retombé sur le pied d’un adversaire. Résultat : entorse de la cheville. Du coup, j’ai raté une bonne partie de la préparation d’avant-saison de l’équipe première de Strassen que je venais juste d’intégrer…»

PREMIER RÊVE DE PRO

«Tout petit déjà, quand je regardais la télévision, je rêvais de passer pro. En fait, j’ai toujours voulu pratiquer le volley sans même que mes parents m’y poussent. Et à 14 ans, avec le lycée de garçons de Luxembourg, j’ai disputé un championnat du monde scolaire en France. C’était ma première expérience à l’étranger. Quand tu es au Luxembourg, on t’explique que c’est dur de passer pro à l’étranger… Là, j’ai eu un point de comparaison et je trouvais que je ne m’en sortais pas si mal…»

PREMIER CONTRAT PRO

«(Rires) Il n’est pas encore signé, mais ce sera pour la saison prochaine…»

PREMIER AGENT

«Je n’en ai pas. J’ai la chance d’avoir des parents qui ont connu le milieu professionnel et j’ai aussi mon frère qui est avocat…»

Charles Michel