Il y a un an pratiquement jour pour jour se déroulait la dernière épreuve «normale» du calendrier. Alors que l’épreuve de Sarasota, une semaine plus tôt, avait été annulée, celle de Mooloolaba, en Australie, a pu se dérouler, puisque la pandémie de coronavirus n’avait pas encore atteint les antipodes. C’est la dernière fois que Bob Haller a terminé un rendez-vous international. Alors que son compatriote Stefan Zachäus se hissait à une superbe 13e place, qui lui permettait d’intégrer une place virtuelle pour les JO, le triathlète d’Imbringen se classait lui 21e à 1’19" du Néo-Zélandais Ryan Sissons… avant que la fédération internationale (ITU) décide finalement de ne pas compter ces points.
La suite ? Un retour précipité au Luxembourg avant que toutes les frontières se referment. Et le début d’une période très particulière, au cours de laquelle Bob Haller va prendre une décision lourde de conséquences : après s’être entraîné en rejoignant ponctuellement des groupes aux quatre coins de la planète et s’être installé au Portugal plusieurs années, il a choisi de rentrer au pays et de s’entraîner avec Thomas Andreos, l’entraîneur ...
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