Le Mondorfois n’a cédé qu’au sommet de l’Aspin, en compagnie de Warren Barguil.
« Un col comme celui-là, placé en fin d’étape, ce n’est pas mon truc. Bon, je n’étais pas trop mal non plus. Je n’ai été lâché que sur le sommet de l’Aspin, avec le Français Warren Barguil. Et dans la descente, je suis resté prudent. Finalement, avec l’incident de l’arche écroulée, nous sommes revenus sur le peloton des favoris à cet instant », rappelait Frank Schleck à l’arrivée de la 7e étape vendredi.
Le Mondorfois de l’équipe Trek est néanmoins rassuré sur son état de forme. « Cela devrait aller mieux sur l’étape de ce samedi car le profil est plus conforme à ce que j’aime », poursuivait-il.
Quant à Ben Gastauer, il a donné ce que ses dirigeants attendaient de lui. « J’ai placé Romain (Bardet) au pied de l’Aspin et comme j’ai vu qu’il y avait d’autres grimpeurs de l’équipe, j’ai préféré lever le pied », confirma-t-il.
Vrai que pour les deux coureurs luxembourgeois de ce Tour de France, il reste pas mal de travail à effectuer. Le plus dur commence…
Denis Bastien