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Suspension de terrain à la Jeunesse : Jean Cazzaro réfléchit à la riposte


Le président de la Jeunesse ne veut pas que l'image de l'un des clubs les plus populaires du pays soit encore écornée (Photo : Editpress).

Le président de la Jeunesse, Jean Cazzaro, est assez remonté après la décision du tribunal fédéral de suspendre la Frontière pour un match avec sursis, après que l’un des assistants de M. Durieux, se soit fait cracher dessus la semaine dernière lors du duel contre Etzella (1-1).

Pas après la décision, qu’il trouve justifiée, mais après les auteurs de ce geste qui fait peser une lourde menace sur le club : «Ce ne sont pas des supporters de la Jeunesse. S’ils l’étaient, ils n’agiraient pas contre le club».
Désormais «sous la menace pour deux saisons», la Jeunesse réfléchit à ce qu’elle va bien pouvoir faire pour enrayer la spirale négative après qu’une grosse échauffourée à l’issue du match contre le Fola a déjà vu la compagne d’Emmanuel Cabral, le gardien du club doyen, se faire agresser. «Nous avons trois semaines avant la venue de Pétange, précise Cazzaro. Mais nous devons décider comment gérer ça, ces gens qui arrivent saouls au stade. Peut-on les empêcher de rentrer ? Je ne crois pas que nous ayons le droit. Mais nous devons marquer le coup».
Julien Mollereau