Ben Gastauer se trouvait hier soir au beau milieu de ses fans, réunis en AG. Le Schifflangeois a manifestement apprécié ce moment !
Roland Schreiner, le président du Fan Club au micro. Les 176 membres ont tout pour s’équiper. (Photo Julien Garroy)
La petite salle du Péta-Boules Schifflange où se tenait, hier soir, l’assemblée générale du Fan Club de Ben Gastauer grouillait de monde sur le coup de 19h30. Le maillot jaune récolté sur le Tour du Haut-Var était accroché au mur et une vidéo retraçant le dernier Paris-Nice occupait un écran géant.
Ben Gastauer semblait particulièrement à l’aise au milieu de ces visages connus. Trois semaines après son magnifique succès sur le Tour du Haut-Var, la date ne pouvait finalement pas mieux tomber.
> On vous voit à l’aise au milieu de vos supporters. C’est important à vos yeux de disposer d’un Fan Club ?
Ben Gastauer : Oui, ça l’est. Quand on est coureur, on sait qu’on a du soutien. Pouvoir rencontrer ses supporters, c’est super. Et puis, c’est avant tout une grande famille. Des copains, des amis.
> Lors de votre récent succès sur le Tour du Haut-Var, vous avez déclaré être touché par les messages de vos supporters…
Oui, j’ai reçu beaucoup de messages de félicitations. Lorsqu’on est un sportif, c’est toujours agréable de constater que les gens sont heureux pour vous. Habituellement, je m’en aperçois en fin de saison. Après le Tour de France 2014, j’avais déjà reçu beaucoup d’encouragements.
> Quel fut le plus beau message ?
C’est difficile d’en retenir un en particulier. Mais j’ai apprécié par exemple d’en recevoir de personnes dont je n’avais plus beaucoup de nouvelles au fil du temps. Et puis, j’ai reçu une belle lettre, écrite par le ministre des Sports (NDLR : Romain Schneider). J’ai beaucoup apprécié.
> Sur les courses, comment un coureur cycliste professionnel comme vous reçoit les encouragements de ses supporters ?
J’y suis attentif. Par exemple, j’avais été surpris d’être encouragé par des supporters sur les courses canadiennes de fin de saison. On ne s’y attend pas forcément. Ça fait quelque chose.
Entretien avec Denis Bastien, à lire en intégralité dans l’édition papier du Quotidien de ce mercredi.