Deuxième du championnat de Porsche Supercup derrière Larry ten Voorde, Dylan Pereira revient ce dimanche à Spa-Francorchamps où il s'est imposé l'an dernier. Un circuit dont il détaille les moindres courbes.
Spa-Francorchamps est un circuit de légende. Au moment d'entamer l'avant-dernier rendez-vous de la saison avant le final à Monza, Dylan Pereira évoque le tracé belge en dix principaux points. Attachez vos ceintures. 1. LE DÉPART «Il faut jouer du frein et de l'accélérateur» «À Spa, le départ a la particularité de se faire en légère montée. Dès lors, et contrairement aux autres pistes, tu dois jouer avec les trois pédales : si le pied gauche s'occupe bien évidemment de l'embrayage, le droit doit jouer de l'accélérateur mais aussi en même temps de la pédale de frein pour éviter à la voiture de reculer... Bref, il faut jouer du frein et de l'accélérateur en même temps.» 2. LA SOURCE «Tu ne vois pas la sortie du virage» «C'est un virage très étroit où il est indispensable d'être très vigilant aux autres pilotes. Parfois, tu peux avoir un accident sans avoir fait la moindre erreur. Il suffit qu'un concurrent bloque ses roues, parte à la faute, te percute et c'est terminé. La principale difficulté réside ...Cet article est réservé aux abonnés.
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