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[Ligue des champions] Une soirée avec Sébastien Thill : «J’ai le rythme cardiaque qui monte là…»


Après le match contre Zagreb, la joie était intense.Elle l'est un peu plus après le tirage pour Sébastien Thill et ses coéquipiers. (Photo : sheriff tiraspol)

Jeudi soir, Sébastien Thill nous a accordé une heure trente de son temps pour suivre en notre compagnie le tirage au sort de la Ligue des champions. Un moment d’intimité magique.

C’est avec un joli t-shirt représentant un ours en peluche décapité et devant un des rares petits plaisirs qu’il s’octroie (un plat de nuggets avec des frites) que Sébastien Thill nous a accordé une heure trente de son temps pour suivre en notre compagnie le tirage au sort de la Ligue des champions. Un moment d’intimité magique.

Où êtes-vous?

Sébastien Thill : Dans un restaurant, qu’on fréquente après les matches. C’est le seul de la ville qui ferme à 3 h du matin. Les autres ferment à minuit. Donc on vient là. Mais je suis seul aujourd’hui.

Il vous reste un peu d’énergie?

J’étais déjà celui qui avait le plus couru à l’aller contre le Dinamo mais hier (NDLR : mercredi), j’ai renouvelé en faisant 13 km. Pas étonnant que je n’aie plus d’énergie pour frapper les phases arrêtées dans les dix dernières minutes. On est rentré de Zagreb à 6 h du matin. Même en étant parti juste après le match, il a fallu encore prendre un bus pendant une heure à l’arrivée à Chisinau. J’étais tellement fatigué que j’ai dormi au complexe. On a nos chambres individuelles là-bas. Je ne me sentais pas de reprendre la voiture. Et là, je viens de sortir de l’entraînement. Les autres étaient au sauna ou aux bains froids. Ils ont leur famille avec eux aussi. Moi, j’avais besoin de manger.

Vous avez eu le temps de fêter?

On n’a même pas ...


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