Successeur à l’automne de Stéphane Mina, finaliste malheureux l’an passé, Erny Hoffmann vivra ce dimanche sa première finale comme entraîneur principal. Un brin inattendu.
Je ne m’amusais plus du tout…» Dans sa voix, l’on devine une forme de regret. Ou quelque chose qui y ressemble. Lui-même ne sait pas trop. «J’aurais aimé coacher ce week-end. Cette équipe, je l’ai quand même bâtie. Mais bon, je n’avais pas envie de ça. Et puis, je ne sais pas comment j’aurais vécu ce confinement, ces entraînements avec masque, cette distanciation sociale. Pour moi, et même si je ne bois pas une goutte d’alcool, le handball, c’est aussi la troisième mi-temps. La convivialité. Sans cela, ça perd un peu de sa saveur…»
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