Entre exils, inondations, matches annulés, transferts tardifs et quarantaines, le 15e du dernier championnat vit un été épique.
C’est une préparation que Neil Pattison qualifie poliment de «très compliquée», ce «dès le début». Tout a en effet commencé «sans terrain à Ettelbruck» : les travaux sur celui-ci n’étant à la mi-juin pas terminés, c’est dans la commune voisine de Schieren qu’Etzella a d’abord dû se replier pour effectuer sa reprise sur un terrain synthétique. Avec les difficultés que cela suppose sur le plan matériel – «parce qu’il n’y a pas besoin que de quatre cônes pour faire une prépa» – et physique. «Comme on n’est pas habitués, ça a rendu la vie un peu difficile aux joueurs, avec des petits bobos au niveau des ...
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