Emmanuel Cabral, le portier du Fola Esch, tire un trait sur l’Europe pour mieux rebasculer sur la DN, dès samedi, avec un match phare contre le Progrès.
Qu’a fait le Fola, ces dix derniers jours?
Emmanuel Cabral : On a eu l’occasion de se reposer un peu, de régénérer le moteur. Puis de travailler de nouveau l’endurance et les automatismes. Ce dernier travail reste important parce qu’il y a eu beaucoup de changements cet été. Même si notre campagne européenne, avec beaucoup de matches gagnés contre des clubs aux moyens largement supérieurs aux nôtres, prouve qu’on est déjà solide offensivement et défensivement, malgré ce nouvel ADN.
Comme beaucoup de clubs du pays auteurs de belles épopées européennes, vous revenez à l’ordinaire en accusant un petit retard en championnat puisque vous êtes actuellement onzième, avec certes un match de retard. Absolument pas inquiétant?
Si je ne me trompe pas, à l’exception du Progrès, tous les "premiers" (sic) ont déjà perdu des plumes. Non, ce championnat va rester très ouvert et il reste plus qu’assez de matches. Nous, c’était normal : pendant tout le mois d’août, on a mis le focus ...
Cet article est réservé aux abonnés.
Pour profiter pleinement de l'ensemble de ses articles, vous propose de découvrir ses offres d'abonnement.