Samedi Henri Pleimling s'apprête à passer la main après huit ans de bons et loyaux services. Avant que Samy Picard ne reprenne le flambeau, celui qui est toujours président s'est confié.
Quel est votre état d'esprit? Henri Pleimling : Ça va bien. Je ne me suis pas fait laminer lors des dernières éditions et je ne pense pas que ce sera le cas pour celle-là. Cette décision a-t-elle été facile à prendre? Oui. Pour tout vous dire, quand j'ai attaqué ce quatrième mandat, je savais que ce serait le dernier. Ma décision était prise avant. Il y a des présidents en place depuis très longtemps, comme Pol Philipp ou André Hartmann, c'est à la fois bien et pas bien. Je n'avais aucune intention de battre des records même si je suis resté plus longtemps que mes trois prédécesseurs cumulés. Je préfère partir de moi-même quand je le décide, je ne veux pas être celui à qui ...Cet article est réservé aux abonnés.
Pour profiter pleinement de l'ensemble de ses articles, vous propose de découvrir ses offres d'abonnement.