David Beckham, copropriétaire de l’Inter Miami, affirme que la franchise est prête à signer des joueurs de renom, alors qu’elle se prépare à commencer sa deuxième saison en Major League Soccer sous la direction du nouvel entraîneur Phil Neville.
L’ancienne star du Real Madrid et du Paris Saint-Germain a souligné que le club considérait les talents locaux comme la pierre angulaire du succès à long terme de la franchise. Il a toutefois reconnu que l’Inter restait à la recherche de joueurs de renom, citant des noms comme Cristiano Ronaldo et Lionel Messi, qui ont tous deux déjà manifesté leur intérêt pour la MLS.
« J’ai dit dès le premier jour que notre académie est une partie importante de ce club et si nous pouvons faire venir ici des joueurs qui ont connu l’Inter Miami, c’est bien le but », a déclaré Beckham.
« Mais nous savons aussi qu’à Miami, nos fans veulent voir les grandes stars. Nous avons déjà des joueurs comme Gonzalo Higuain et Blaise Matuidi qui ajoutent au faste et au glamour, mais nous voulons aussi avoir l’occasion de faire venir de grands noms », a-t-il poursuivi.
« Miami est une ville qui attire tout le monde »
Interrogé sur Messi et Ronaldo, Beckham a refusé d’exclure la possibilité d’un transfert pour l’un ou l’autre des joueurs.
« Il faut que le joueur soit bien dans l’équipe, qu’il ait encore de l’ambition et qu’il veuille gagner », a précisé Beckham. « Donc quel que soit le joueur avec lequel nous parlons, nous devons nous assurer que c’est une priorité. »
« Bien sûr, nous voulons toujours faire venir de grands joueurs. Miami est une ville qui attire tout le monde et ce genre de joueurs (Messi et Ronaldo) sont ceux que nous aspirons à faire venir ici », a-t-il souligné, ajoutant que la politique de recrutement de Miami s’inspirait de celle de son ancien entraîneur à Manchester United, Alex Ferguson.
« Sir Alex Ferguson était maître dans le choix du bon joueur, il n’a pas toujours amené le meilleur joueur du monde, il a amené le bon joueur pour le club et c’est l’une des choses que j’ai amenées ici », a-t-il dit.
AFP