La Doyenne des classiques a souvent réservé des finales haletantes jusqu’à l’arrivée ces dernières années.
Cela n’est pas si nouveau que cela. Souvent, le scénario de la Flèche wallonne, toujours disputée chronologiquement quatre jours avant Liège-Bastogne-Liège, n’offre qu’une vue partielle, incomplète, en trompe-l’œil, des forces qui vont s’affronter bien plus sérieusement que sur une seule ascension comme le juge de paix qu’est assurément le Mur de Huy. Il fut même un temps où les prétendants au succès pour la Doyenne passaient leur mercredi après-midi à se cacher au sein du peloton, en prenant soin de ne pas bouger une oreille. Un simple entraînement amélioré. Ce n’est plus vraiment le cas. On a vu au plus fort de la pente d’arrivée Tadej Pogacar marquer le pas, Julian Alaphilippe un poil moins mordant que lorsqu’il parvient à assurer un podium, et tant d’autres encore grimacer.
C’était le jour de Dylan Teuns et le coureur belge ne s’est pas fait prier pour mordre à pleines dents dans un succès mérité pour l’ensemble de sa ...
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