Les trois tests de dépistage par semaine constituent un pilier de la stratégie anticovid de l’Éducation nationale. Sur le terrain, le nombre d’élèves qui refusent de se faire tester serait toutefois important. Témoignage.
Le ministre de l’Éducation nationale, Claude Meisch, ne cesse de le répéter : «Il n’y a pas un secteur d’activité où il existe des règles aussi strictes et où un nombre si important de tests est réalisé.» Dans les écoles, tous les élèves seraient «testés au moins toutes les 48 heures contre le covid».
La pratique des trois tests par semaine (lundi, mercredi, vendredi) «fonctionne». «Nous voyons toutes les semaines que des centaines de milliers de tests sont réalisés», a notamment souligné le ministre libéral, lundi matin, sur les ondes de RTL.

Le ministre de l'Education nationale, Claude Meisch, au Lycée Michel-Rodange. Photo : Editpress/Julien Garroy
Mais qu’en est-il de la réalité sur le terrain ? Le total de 22 550 cas positifs détectés depuis début janvier dans les écoles du pays (lire ci-dessous) correspond-il au nombre réel d’infections détectées dans le fondamental et le secondaire ?
Certains enseignants en doutent. Ils disent surtout se sentir «mal à l’aise» ...
Cet article est réservé aux abonnés.
Pour profiter pleinement de l’ensemble des articles, découvrez nos offres d’abonnement.
Avec 3 doses ils ne devraient pas avoir peur et travailler.
Avec 3 vaccins ils ne devraient pas avoir peur et travailler.
Irresponsables, ces élèves et parents. Et puis ils se plaignent des profs infectés avec 3 vaccins !