La deuxième journée nationale de la schizophrénie a lieu ce jeudi. L’occasion de dé-stigmatiser un trouble mental encore trop souvent caricaturé et de présenter des associations qui viennent en aide aux familles de malades.
1% de la population luxembourgeoise souffre de schizophrénie, une des maladies mentales les plus handicapantes socialement. Entre délires, hallucinations et passages à vide, les malades sont en décalage perpétuel avec eux-mêmes et leur entourage. Rares sont ceux qui arrivent à vivre «normalement».
S’il existe des traitements pour en atténuer les symptômes, une fois déclarée, la maladie est incurable. Malades et familles doivent donc apprendre à vivre au mieux avec.
La Ligue luxembourgeoise d’hygiène mentale et des associations comme l’association des familles ayant un proche atteint de psychose proposent aides et solutions pour rendre plus supportables les conséquences de la schizophrénie.
Sophie Kieffer
Retrouvez notre article sur ce sujet dans Le Quotidien papier du jeudi 22 mars
Pour la 2e journée de la schizophrénie au Luxembourg ,l’ @AFPLux (Association des Familles ayant un proche atteint de Psychose au Luxembourg) organisera ce jeudi 22 Mars 3 conférences simultanées à 19h dont: Dr Paul Rauchs « Quand le moi ne va plus de soi » (Hôpital Kirchberg) pic.twitter.com/bm029Lc2h3
— Hôpitaux Robert Schuman (@HopitauxSchuman) 21 mars 2018