Lundi, Jean Asselborn, ministre des Affaires étrangères et européenne, assistait au au lancement de la Présidence belge du Benelux. L’occasion pour lui de rappeler que le Benelux « doit essayer d’être précurseur en matière de coopération régionale et transfrontalière».
C’est au Palais des Académies à Bruxelles qu’avait lieu la cérémonie de lancement de la présidence belge du Comité des ministres de l’Union Benelux. Jean Asselborn y assistait lundi, Sur invitation du ministre fédéral des Affaires étrangères, du Commerce extérieur et des Affaires européennes de la Belgique, Didier Reynders.
Après avoir prononcé ses vœux de succès à la Présidence belge du Benelux, le ministre a souligné la «pertinence des priorités identifiées pour 2018», mettant l’accent sur la numérisation et la durabilité.
Les thèmes du transport durable, de la transition énergétique, de la gouvernance électronique, des restrictions territoriales de l’offre au sein du Benelux ainsi que le renforcement de la sécurité, de la coopération policière figurent au centre du programme de la Présidence belge.
Alors que l’Union Benelux fête cette année son 60ème anniversaire, les ministres des Affaires étrangères des trois pays du Benelux se sont ensuite soumis aux questions des internautes, devant près de 200 personnes.
Retraçant brièvement l’histoire du Benelux, Jean Asselborn a expliqué que « l’une des principales valeurs ajoutées du Benelux est cette ambition commune d’agir en tant que laboratoire de l’UE»
Le Quotidien