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En matière de vigilance, la bonne volonté ne suffit pas


Le logiciel espion, développé par une société présente au Luxembourg, a mis en danger la vie et la liberté de nombreux journalistes et militants des droits humains. (Photo AFP)

Pour l’Initiative pour un devoir de vigilance, l’affaire Pegasus rappelle la nécessité d’introduire une loi nationale afin de garantir le respect des droits humains par les entreprises.

Le 18 juillet dernier, un consortium de médias révélait l’affaire Pegasus, un scandale de grande ampleur mettant au jour l’espionnage des téléphones portables de centaines de journalistes, hommes et femmes politiques, militants des droits humains et chefs d’entreprise. Le logiciel espion incriminé s’est avéré être développé par la société israélienne NSO, présente au Luxembourg via neuf entités, dont l’une assure la fonction de «Group controller» : OSY Technologies SARL, Q Cyber Technologies SARL, Triangle Holdings SA, Square 2 SARL, Novalpina Capital Partners SARL, Novalpina Capital Group SARL, NorthPole Holdco SARL, NorthPole Bidco SARL et NorthPole Newco SARL.

Ce n’est pas la première fois que NSO et ses liens avec le Luxembourg se ...


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