Le Quotidien Indépendant Luxembourgeois
L’automobiliste avait attiré l’attention de la police alors qu’elle zigzaguait avec son véhicule dans la capitale.
Il était aux alentours de 4 h, dans la nuit de samedi à dimanche, lorsqu’une patrouille de la police a remarqué un véhicule circulant en zigzag, dans la rue Marie-Adélaïde. Pour couronner le tout, le véhicule suspect était en excès de vitesse dans ladite rue limitée à 30 km/h. Il n’en fallait pas plus pour que les forces de l’ordre décident d’arrêter la conductrice.
Lors du contrôle, il s’est avéré qu’une odeur d’alcool s’échappait de l’habitacle du véhicule. La conductrice a dû souffler dans le ballon. Le test s’est révélé positif. Emmenée au commissariat pour y subir un second alcooltest, la femme a subitement montré «de multiples changements d’humeur», selon le bulletin de la police. Le comportement de la conductrice a alterné entre pleurs, signes de crise d’hystérie et lourdes insultes à l’encontre des agents de police. Une fois la paperasse administrative évacuée, la femme a été invitée à quitter le commissariat. Mais celle-ci s’est alors dirigée vers la sortie de secours… avant d’être maîtrisée par les forces de l’ordre.
L’histoire ne s’arrête pas là. Alors que les agents ont voulu lui remettre ses documents, la femme les leur a jetés au visage, avant de tenter de fuir en escaladant les clôtures de l’enceinte du commissariat. À nouveau maîtrisée, elle a été conduite vers la sortie, mais après quelques minutes, elle a fait demi-tour, a commencé à hurler et jeté son téléphone mobile en direction des agents. Face à ce comportement, il a été finalement décidé de la placer en cellule de dégrisement.
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