Jean, Luc et Tom sont soupçonnés d’avoir soustrait le capital de deux loges maçonniques. Capital qui, clament-ils, appartient à leur famille. Le tribunal a tenté de remonter le fil de l’histoire des titres «volés».
Jean a-t-il mystifié tout le monde, ses deux fils y compris ? Le temps a-t-il à ce point érodé la mémoire des témoins ? Impossible mercredi, lors de la deuxième audience du procès, de déterminer à qui appartenaient les fameux titres aux porteurs revendiqués par deux loges maçonniques luxembourgeoises, d’une part, et par les prévenus, d’autre part.
Jean aurait détourné les titres aux porteurs de la société Sacec, société immobilière de la Grande Loge de Luxembourg et du Suprême conseil du rite écossais ancien et accepté pour le Grand-Duché de Luxembourg (Sucol). Les deux associations ont porté plainte contre le père, Jean, et ses deux fils, Luc et Tom, le 17 février 2012.
Franc-maçon, ...
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