Chaque année, une centaine d’auteurs d’abus sexuels sur mineurs sont traduits en justice. Plus vite ces actes sont signalés, plus vite les victimes peuvent être sauvées.
Et si ce que nous pensons ne pas être notre affaire nous regardait, finalement? Et si nous ne nous arrêtions pas aux conséquences pour notre personne, mais plutôt aux conséquences que le fait de nous mêler de ce qui ne nous regarde pas pourrait avoir sur une victime d’abus? Et si nous prenions notre courage à deux mains et dénoncions des abus là où nous pensons qu’il peut y en avoir?
Signaler des abus physiques, psychiques ou sexuels à la justice permet de les faire cesser et d’éviter que des vies ne soient gâchées. C’est le message que les parquets de Luxembourg et de Diekirch ainsi que le service de protection de la jeunesse et infractions à caractère sexuel de la police ...
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